Dos au parking, partir à gauche par la petite route perpendiculaire à la RD 47, tourner à droite entre une belle grange et une chaumière, puis de nouveau à droite dans la plaine.

Traverser la RD 47 pour s'engager sur le chemin. A la sortie du chemin, appuyer à gauche puis tourner à droite au croisement.

De l'autre côté du vallon, prendre le chemin à gauche entre bois et prairie. Puis tout droit pour rester sur un joli chemin encadré de belles haies puis de nouveau tout droit et ensuite à gauche au hangar.

A la fourche, obliquer à droite pour longer une belle haie de têtards. De retour sur le goudron, tourner à gauche pour reprendre un chemin forestier assez spectaculaire (attention au ravin à gauche du chemin).

Au hameau du Rossignol, continuer tout droit et de nouveau tout droit pour rester sur le plateau. Sur la route, appuyer vers la gauche pour rester sous le couvert forestier.

Au carrefour après la ferme, tourner à gauche, puis tout de suite à droite en suivant le GR. Au hameau de maisons traditionnelles, prendre la petite route à gauche, puis tout droit le chemin dans la plaine.

En bordure de bois, avant la descente, quitter le GR vers la droite. 400 mètres plus loin, obliquer à gauche pour descendre dans le bois et traverser une jolie petite vallée.

En haut de la côte, au Mont Gannel, tourner à droite et longer la petite vallée. De retour sur le goudron, prendre à droite puis tout droit la petit route de la Douve aux Agneaux. Au croisement obliquer à droite.

Dans la plaine, emprunter le chemin à gauche qui passe le long de la ferme de l'Ourie. Après avoir fait le tour de ce coin de bocage préservé, le clocher de l'église apparaît à l'horizon.

La légende de Lourie raconte que Robert, duc de Normandie et père de Guillaume le Conquérant, chassait dans la forêt du Vièvre lorsqu'un ours l'attaqua. Il fut sauvé par un jeune chevalier. Le nom de lieu-dit« l'Ourie témoigne du lieu où se déroula la scène, mais à l'époque, une forêt recouvrait tout le plateau de Saint-Philbert-sur-Risle à Saint-Georges-du-Vièvre.

L’église de Saint-Pierre des Ifs a été édifiée là où s’élevaient les bois sacrés. L’if, pour le nordique, est un symbole d’immortalité (vu sa longévité).
L’église a conservé de sa construction romane son appareil en arrêtes de poisson au nord de la nef et les vestiges d’une porte en plein cintre décorée de bâtons brisés au sud.
La façade occidentale et la travée nouvelle sont en échiquier de pierres et silex taillés.
Autel offert par l’abbé Corbet se trouvant à l’intérieur d’un if. Les ifs situés dans le cimetière sont classés.