Dos à l’église, partez vers la droite. A la fourche, descendez à droite vers la vallée et prenez tout de suite le petit chemin sur la droite derrière l’ancienne boulangerie.

Descendez à travers les haies du bocage dans la Vallée Buisson. Une source sort dans le chemin à mi-pente. Appréciez la vue de part et d’autre mais soyez prudent vers le bas : le chemin est humide et raviné.

En bas, suivez à droite le lit du ruisseau intermittent généralement sec (qui ne coule qu’après un orage ou en période de forte pluie). S’il y a trop d’eau dans le ruisseau, prendre le chemin en face qui raccourcit l’itinéraire.

A la sortie du dour dans la forêt, bifurquez par le chemin à gauche.

Au carrefour de chemin, continuez tout droit pour profiter de la vue sur la vallée Féron et le village de Saint-Grégoire.

Au grand chêne, obliquez à gauche (ancien arrêt du train reliant St Georges et Glos-sur-Risle).

Traversez le ruisseau sur la passerelle et remontez sur l’autre versant. A la fourche, appuyez à droite pour longer un pré les pieds au sec.

De retour sur le goudron, remontez tout droit jusqu’à la place du village.

Placée sous le patronage du Pape Grégoire le Grand, fils de Sainte Sylvie, l’église de Saint-Grégoire du Vièvre date du XVIème siècle. Mais il semblerait que le Xème siècle ait vu à cet emplacement une chapelle.
Dans l’église, dédiée à Saint Grégoire, on invoque Saint Ursin pour le mal de ventre.
L’église est un édifi ce rectangulaire composé d’une nef et d’un choeur en retrait. Au nord de la nef fait légèrement saillie une petite chapelle construite en pierres vers le milieu du XVIème siècle. Le reste du mur nord de la nef à soubassement de briques a été reconstruit au XVIIIème siècle.
Une particularité de cette église ; les fonts baptismaux sont à droite au lieu d’être à gauche comme d’habitude.
En effet, il existe un vortex (c’est-à-dire qu’un point d’eau passe en dessous).
En face de l’église, vous pouvez admirer le panorama des treize clochers.
L’église comporte, sur son mur méridional, un échiquier de pierre blanche et de silex noir formant ici et là, des ornements, personnages et inscriptions en forme de rébus : sa présence est exceptionnelle et pose question quant au commanditaire et à ses motivations.
L’interprétation la plus souvent avancée est « Le monde chrétien est corrompu et faucard ».