Sa chapelle édifiée en 1609 sous le vocable de la Vierge, est préservée grâce à une association. Rétablie au culte depuis 1868, elle fut un lieu de pèlerinage.

Le calvaire dizainier atteste de la présence de terre-neuvas, des marins, qui à la fin du XIXème siècle et jusqu'au années 1920-1930, avec un déclin dès la Première Guerre Mondiale, embarquaient dans la région de Granville, à bord de trois mâts, de bricks ou de goélettes , pour des campagnes de pêche à la morue au large de Terre-Neuve durant 6 à 7 mois : un mois pour le voyage aller, 5 à 6 mois de pêche, environ trois semaines pour le retour, incluant une halte à Bordeaux où une partie de la cargaison était déchargée pour prendre du sel et du vin. Les départs avaient lieu après le carnaval de Granville. On dit souvent que le terre-neuvier ne voyait jamais une feuille d'arbre.