Au point de départ, reprenez la route de Croismare, sur votre droite puis empruntez la route de la Sapinière et entrez dans le cimetière en empruntant le portillon. Longez l’allée, passez devant l’église située sur votre gauche et poursuivez tout droit sur le chemin qui vous mène sur la route départementale que vous traversez pour emprunter par la droite, le sentier qui longe celle-ci. Prenez à gauche, la route du clos Pigeon puis la première à droite, route de la Marguerite. A la deuxième intersection, prenez à droite, en direction du Château que vous longez.

Descendez la route de la Marguerite et empruntez le chemin sur votre droite jusqu’à la route de la Morillière que vous prendrez sur votre droite. Au croisement suivant, prenez à gauche la route de Sainte Hélène, faîtes environ 700m et prenez le chemin des Mésanges sur votre droite. Allez à droite, puis au carrefour, traversez pour prendre le chemin en face. A l’intersection, dirigez-vous à droite puis au bout, prendre à droite hameau d’Ecultot. Empruntez ensuite le chemin sur votre gauche au niveau du N°5.

Traversez la départementale 32 en direction de la ferme de la Côte Vallée. Poursuivez devant la ferme et prenez le chemin sur la gauche qui mène à l’ancienne gare où vous prendrez le chemin à droite.

Au bout du chemin, allez à droite, allée de Beuzemesnil puis poursuivez le chemin qui vous mène route de l’Observatoire. Continuez tout droit, longez le terrain de foot et prenez aussitôt la sente sur votre gauche qui vous ramène à votre point de départ.

À 15 minutes de l’abbaye de Montivilliers et à 30 minutes du Havre se trouve le château du Bec, un édifice datant du Xe siècle. Il s’agit d’une magnifique demeure, nichée au milieu des étangs qui prennent leur source dans la Lézarde. Le nom du château vient d’ailleurs directement de ces ruisseaux, le mot bec signifiant “ruisseau” en norrois. Fait de brique et de silex, le château du Bec est mentionné dans Une Vie de Maupassant, ainsi que dans L'œuvre de mort, de Maurice Leblanc. Le château et ses environs sont ouverts aux visiteurs, qui peuvent également en visiter la ménagerie, ou profiter d’agréables balades autour des étangs. Un hébergement y est également disponible, le lieu pouvant aussi accueillir des événements en tout genre.

Le château de la Marguerite à Saint-Jouin-Bruneval est souvent confondu avec l’ancienne léproserie située autrefois plus au Nord. Le château a été modifié, complété et modernisé par ses propriétaires successifs au fil des siècles. Son passé féodal se révèle par un colombier seigneurial et une porte charretière. Celle-ci, délabrée par le temps, est à trois ouvertures cintrées, une plus vaste et plus haute, les deux autres adjacentes, comme dans les arcs de triomphes antiques. Elle est en pierre et silex et daterait d’environ 1575. Le colombier a été construit à la fin du XVIe siècle, de forme circulaire en silex noir taillé. Les murs sont coupés et ceints à mi-hauteur par un bandeau de pierre tendre. Le château est aujourd’hui divisé en copropriété.

De l’église primitive de la fin XIe ou du début XIIe, une fenêtre romane a été conservée. Dégradée pendant les guerres de religion, il faudra attendre le XVIIIe siècle pour la réalisation de travaux par les seigneurs du Bec Crespin (Les Romé de Fresquienne). Ils réaménagent alors l’édifice et y adjoignent deux chapelles de chaque côté de la nef.

En 1969, trois Havrais membres de la Société Astronomique du Havre obtiennent une parcelle de terre au hameau des Trois-Rois pour implanter la coupole d’un observatoire de 5m de diamètre et se consacrent à la fabrication d’un télescope de Newton de 410mm. Depuis 1985, les améliorations se poursuivent avec de nouvelles réalisations et installations. L’association participe ou organise des manifestations locales (Nuits des Étoiles, Fête de la science…). Ces membres accueillent le public gratuitement tous les samedis après-midi de 15h à 17h environ.